Ambre effectuera son semestre d’études à Kansaï University.
L’EIGSI enrichit son offre de parcours à l’international. En effet l’école vient de signer un nouveau partenariat, avec le Japon cette fois et plus précisément Kansaï University située à Osaka.
Une opportunité supplémentaire de semestre d’échange en Asie pour les étudiants de l’EIGSI.
Ambre sera la 1ère étudiante de l’EIGSI a bénéficier de ce nouveau partenariat pour son semestre d’échange à l’international dès la rentrée prochaine.
Si sa candidature a été retenue par le jury de sélection pour le semestre d’études à l’international de l’EIGSI, c’est tout d’abord parce que son dossier rempli les critères d’excellence académique attendus.
Mais c’est aussi parce qu’elle étudie le japonais à l’EIGSI. Une des 8 langues enseignées à l’école.
Nous avons posé quelques questions à Ambre qui a rejoint l’EIGSI à l’issue de sa classe préparatoire (MP) au Lycée Fabert de Metz.
1- Pourquoi étudier le japonais en école d’ingénieurs ?
Ambre H. : J’ai pensé que j’avais fait le tour de ma LV2 après les années collège et lycée. L’EIGSI m’a donné l’opportunité de démarrer le japonais en 2ème langue, je l’ai saisie ! J’ai un peu hésité entre le chinois et le japonais et puis finalement, j’ai opté pour le japonais, motivée par l’envie de découvrir ce pays depuis longtemps. Parallèlement aux heures d’enseignements de la langue à l’école, j’ai un plan de travail personnel en vue de mon départ en septembre prochain. Je devrais pouvoir être autonome avec mon lexique de mots les plus usités dans la vie quotidienne.
2- Vous projetez-vous dans un parcours bi-diplômant ensuite au japon ?
Ambre H. : Pourquoi pas, cela peut être une autre opportunité. Mais pour l’instant j’ai surtout le Japon en tête depuis le début du lycée et mon objectif avec ce semestre d’échange à Kansaï University est vraiment de me permettre de m’immerger dans la culture japonaise. Confronter nos façons de penser, nos points de vue…
J’ai retenu des modules d’enseignement dans différents domaines tels que « Cross cultural competences » dans le domaine des soft skills, ou bien encore un module en « Engineering approach to urban issues ». Ce dernier est enseigné au sein de la faculté «Environmental and Urban Engineering ».
3- Avez-vous déjà une idée de projet professionnel ?
Ambre H. : je n’ai pas encore un ou des secteurs d’activités professionnels en tête. Je ne m’interdis rien et même si je ne suis pas certaine de vouloir effectuer ma première expérience professionnelle au Japon…pourquoi pas dans un 2ème temps.
Pour l’instant, j’ai plutôt dans l’idée de relier mon projet professionnel à mes passions : l’équitation et le dessin. Je dessine depuis que je suis petite. Mais je réfléchis surtout sérieusement à utiliser ma formation d’ingénieure généraliste EIGSI dans le domaine de l’équitation et des objets connectés…
Kansaï University est une Université fondée en 1886 et particulièrement ouverte à l’international.