Originaire du Sud de la France, Florian a rejoint l’EIGSI La Rochelle après une Classe préparatoire aux Grandes Ecoles (CPGE), filière PSI. Diplômé en décembre 2018, il a effectué son stage au sein du groupe Bosch en Angleterre. Il a commencé sa carrière d’ingénieur à Toulouse, chez Bertrandt, entreprise proposant des solutions pour l’industrie automobile et aéronautique internationales.
Vous avez rejoint l’EIGSI La Rochelle après une Classe préparatoire aux Grandes Ecoles (CPGE). Pourquoi avoir choisir l’EIGSI ?
Tout d’abord, je souhaitais rejoindre une formation généraliste. J’étais fortement intéressé par le côté pluridisciplinaire des enseignements d’une école généraliste. Ensuite, j’avais aussi identifié la dominante Mécatronique. C’est cette dominante que je voulais suivre.
Vous suivez les enseignements de la dominante Mécatronique. Pourquoi avoir choisi cette dominante ?
C’était vraiment la dominante qui m’intéressait à l’EIGSI La Rochelle. Pourquoi ? Car la mécatronique est une science relativement récente et qui est employée très largement de nos jours et ce dans tous les secteurs d’activité. Pour ma part, je suis passionné par l’automobile depuis mon enfance, et la mécatronique est omniprésente dans les véhicules et prend de plus en plus de place avec les véhicules hybrides, électriques et autonomes.
Les cours enseignés dans la dominante Mécatronique sont très divers. On retrouve bien évidemment des enseignements d’automatique, de programmation informatique, mais aussi des enseignements de thermique, de management de projet, d’innovation et la maitrise d’outils/méthodes pour l’ingénieur. Différents projets sont également présents (contrôle-commande, modélisation thermique, modélisation de systèmes physiques, etc.).
Pluridisciplinaire, tel est le mot qui qualifie cette dominante.
Vous avez effectué votre stage de fin d’étude chez Bosch Engineering en Angleterre. Quelle fonction y occupiez-vous ? Quelles étaient vos tâches quotidiennes ?
J’étais responsable d’un projet d’automatisation de tests de calibration moteur.
Les ingénieurs exécutaient un processus de tests manuel, que je devais automatiser à l’aide d’un logiciel.
Mes tâches quotidiennes s’articulaient autour de la programmation informatique pour automatiser les tests mais il y avait une application physique concrète de mon travail en allant directement tester mon programme sur une voiture, voir s’il fonctionne et comment je peux l’améliorer. Cette application concrète sur un système physique a rendu mon stage très stimulant !
Que diriez-vous de l’EIGSI à un élève de classe prépa qui voudrait rejoindre l’école ?
Si votre souhait est d’acquérir de larges connaissances scientifiques dans l’ingénierie alors je vous dirais de rejoindre l’EIGSI. Mais l’EIGSI ce ne sont pas que des cours d’ingénierie ! C’est aussi une vie associative débordante avec des dizaines d’associations (caritatives, sportives, musicales, mécaniques…), un enrichissement culturel avec au minimum 12 semaines à l’international (expérience inoubliable garantie !), et c’est également une situation géographique exceptionnelle. L’école est située à quelques mètres à peine de l’océan. Un cadre idyllique pour étudier !