Découvrez le témoignage de Yasmine, diplômée EIGSI de la promotion 2020. Elle travaille aujourd’hui au Danemark au sein de Alstom, en tant qu’ingénieure Méthodes.
Peux-tu te présenter ?
Bonjour, je m’appelle Yasmine Kameli, je suis ingénieure diplômée issue de la promo 2020. Je suis actuellement employée chez ALSTOM à Copenhague. Je suis ingénieure méthode donc j’aide à installer des systèmes de signalisation sur trains scandinaves au Danemark, en Norvège et en Suède.
Que retiens-tu de l’EIGSI ?
Alors pour moi l’EIGSI c’est essentiellement des rencontres. Ce sont toutes les personnes que j’ai rencontrées aussi bien dans le corps étudiant, dans le corps pédagogique que les rencontres que j’ai pu faire à l’international. Tout ce qu’on peut en tirer aussi bien au niveau personnel que professionnel. Au-delà du réseau, c’est aussi les retours d’expériences, l’enseignement que nous apportent les rencontres en fait simplement humaines et même des professionnels.
Pourquoi avoir choisi de devenir ingénieure généraliste ?
Être ingénieur généraliste, c’est un atout incontestable surtout quand on travaille à l’étranger parce que les formations d’ingénieurs dans d’autres pays sont différentes.
Par exemple en Allemagne, elles sont beaucoup plus spécialisées. Du coup quand on est à l’international et qu’on est ingénieur généraliste, ça nous permet vraiment de parler avec tous les corps de métier, de pouvoir se comprendre, de comprendre les problématiques sur les autres postes. C’est donc un avantage d’avoir une espèce de bagage technologique assez complet ce qui n’est pas négligeable.
Parle-nous de tes expériences à l’international
Pendant mon cursus à l’EIGSI, je suis restée en Allemagne pendant un petit moment. J’ai fait d’abord un semestre Erasmus à Kiel donc tout au nord de l’Allemagne. Ce fut vraiment décisif pour moi parce que c’est là où je me suis rendue compte que mon truc c’était vraiment la mécanique. Ils avaient une approche très concrète comme ils le font en Allemagne avec beaucoup d’usinage et des choses comme ça . Quand je suis revenue à l’EIGSI, j’étais sûre, j’avais un bagage technologique très concret, complet, et je savais dans quoi je voulais m’engager pour l’avenir. Par la suite, j’ai fait plusieurs stages en Allemagne grâce à cette expérience.