Découvrez le témoignage de Nolwenn, ingénieure diplômée EIGSI de la promotion 2020. Elle est également diplômée de la formation ingénieur d’affaires (MSc). Nolwenn travaille en Autriche au sein d’Eaton, en tant qu’ingénieure application.
Peux-tu te présenter ?
Bonjour, je m’appelle Nolwenn Durand-Badel, promotion 2020. Je travaille aujourd’hui dans une entreprise qui fabrique des composants électriques et électroniques en tant qu’ingénieure application. C’est-à-dire que je fais le lien entre les équipes de vente et les équipes de développement et recherche technique.
Que retiens-tu de l’EIGSI ?
Pour moi l’EIGSI c’est sept ans de ma vie, de rencontres, d’expériences plus ou moins chouettes, plus ou moins difficiles. Ça a été aussi des frustrations, mais beaucoup beaucoup de bonheur et à la fin ce sont deux diplômes (d’ingénieur et du MSc ingénieur d’affaires).
Pourquoi avoir choisi de devenir ingénieure généraliste ?
Alors pour moi un ingénieur généraliste, c’est quelqu’un qui a des compétences qui sont plus vastes qu’un ingénieur spécialisé ce qui va permettre dans le monde professionnel de vraiment être capable en fait de comprendre des collègues qui n’ont pas les mêmes spécialités que nous. Même si par exemple aujourd’hui je travaille dans l’électronique, ce n’est pas ma spécialité, je suis spécialisée en mécanique, mais avec ma formation en tant qu’ingénieure généraliste, ça me permet de comprendre des collègues sur des sujets techniques même si je ne connais pas leurs sujets en profondeur.
Parle-nous de tes expériences à l’international
Alors actuellement je travaille à Vienne en Autriche. Il se trouve que j’ai partiellement grandi là-bas donc j’y suis retournée après mes études. Je travaille en allemand et en anglais. Et travailler à l’étranger c’est quelque chose qui m’a toujours plu et pouvoir avoir cette opportunité de bouger c’est aussi quelque chose que l’EIGSI m’a offert. J’ai pu par exemple, une fois dans le cadre d’un stage, partir aux États-Unis travailler pendant 7 mois et également pendant le semestre d’échange. J’ai pu aussi partir à Ostrava en République-Tchèque pour étudier dans une des universités partenaires.